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Cela semblerait, en premiere vision, qu’on puisse considerer les indices sous 2 aspects differents, ou de deux manieres, dont il faudra determiner si elles se completent ou s’excluent.

Cela semblerait, en premiere vision, qu’on puisse considerer les indices sous 2 aspects differents, ou de deux manieres, dont il faudra determiner si elles se completent ou s’excluent.

D’une part les signes tel elements en langue, elle-meme definie comme systeme de indices.

D’autre part, les signes entendus de maniere bon nombre plus globale, voire metaphorique, au sens d’entites porteuses d’une signification. D’un cote, donc, on est convie a etudier les indices comme entites linguistiques, logiques et mathematiques : connecteurs, quantificateurs, indices algebriques, mais d’abord lettres de l’alphabet ou signes phonetiques. D’un nouvelle cote, il faudra s’interroger sur l’eventualite d’un sens a conferer a des expressions du genre : “signes du destin”, indices de mauvais augure”, “signes de reprise ou de recession”, “signes des temps”, “indices de l’entree dans — ou d’une sortie du — nihilisme”, etc.

Apparemment bien separe ces deux significations possibles.

Mais en realite les choses sont plus compliquees. Deja le signe (au sens 1) reste constitue et institue dans un contexte global qui lui est immanent. Et symetriquement le signe (au sens 2) est issu tout d’un contexte culturel : epoque historique et localisation geographique, systeme de pensees et structure de mentalites. Et il est en mesure de exercer a votre titre un inflechissement et une modification d’la production des signes (sens 1), au sens de certaines variations, contaminations et transformations. En somme la langue, depositaire des signes — du phoneme au semanteme en passant via le morpheme — temoigne en le milieu de cette branche du langage tel productrice de indices. A l’autre extremite — en realite ces trois determinations effectives de l’atmosphi?re sont liees dans une simultaneite — se tient la parole tel acte de langage et creation de significations contextuelles et culturelles globales.

Cela s’agit alors bien d’etudier des signes, plus que le signe, votre signe, ou des signes. Indeniablement les signes renvoient a une totalite systemique dont chaque langue eprouve la necessite, meme a travers les evolutions partielles et locales. Mais en meme temps la contingence d’une constitution et de l’institution tout d’un signe (ou du signe) parai®t attestee dans le fera meme d’une diversite des langues, historiquement et geographiquement.

D’autre part et complementairement, il conviendra, dans un souci conceptuel et lexical —puisque le philosophie, et par excellence celle du langage, parai®t devoir etre d’abord 1 exercice notionnel, conceptuel et lexical — de distinguer soigneusement les signes des signaux (signaletique) des indices, symboles, icones et images, toutes notions copains mais differenciees. Aussi bien le contraire des indices, l’absence de signes, l’in-signifiant, peut-il renvoyer a une realite clairement determinable, l’indicible ou l’ineffable?

En bien etat de cause, il s’agira de degager le rapport des indices a la faculte de langage, en cherchant d’abord l’origine et la provenance des signes, i.e. au fond un nature problematique

. Puis il conviendra de s’interroger via le rapport des indices au fera d’une langue et des langues, en cherchant a comprendre les signes dans leur determination a se former, se transformer et se combiner (signes comme sons, mots ou phrases). Cela semblerait que l’examen de l’origine ou la nature des signes ne puisse suffire, si tant reste que les indices ne “descendent gui?re du ciel”, mais sont constamment generes, combines, deplaces et transformes, cela constituerait peut-etre l’essentiel de leur existence, fragile, variable, problematique.

Enfin on peut affirmer etre necessairement amene a examiner la valeur — externe par rapport a toutes les trucs et interne par rapport aux representations —, et le sens — orientation, direction, application et intensite — si tant est que le langage ne s’exerce jamais a construire et a entretenir constamment ue langue en vain. J’ai problematique des signes parai®t au contraire se placer plutot dans la perspective d’une parole vouee a prononcer des enonces (et non plus des phrases) doues de signification globale. Cette derniere instanciation (la plus finale et complete) de l’exercice des signes reussit-elle a installer et edifier la culture, la communication et J’ai conservation politique et historique de l’humanite?

En somme il semblerait que l’enjeu problematique une question des indices se profile dans le loisir d’une autonomisation des signes par rapport au monde des choses (des referents) de telle manii?re qu’on puisse envisager de affirmer — mais dans quel contexte de totalite systemique, et de quelle nature? —, la compatibilite entre la necessite operatoire des indices et leur contingence genetique.

Il convient donc dans un premier moment de s’interroger https://datingmentor.org/fr/manhunt-review/ dans l’origine des signes. On presupposera Indeniablement que celui-ci n’y a pas de signe dans la nature, en tant que tel. Puisqu’il n’y a apparemment gui?re dans la nature une intention quelconque de signifier. J’ai nature reste un ensemble de lois. Elle ne nous donne rien — et surtout aucune signes ou de valeurs — mais seulement des coups. Elle ne nous promet pas grand chose. Tout au plus se deploie-t-elle d’apri?s de connexions necessaires, que l’esprit humain peut reconstituer sous la forme de la representation d’indices. Notre fumee reste l’indice du feu, la lactation est l’indice de l’enfantement (exemples stoiciens). L’indice est saisi par l’intelligence comme raison explicative (par induction). Il est une indication. Notre cendre cache le feu, en tant qu’elle en reste 1 effet, mais elle le revele, en tant qu’elle en est un indice. Encore n’y a-t-il dans la nature aucune volonte d’indiquer. Mais l’intelligence humaine se dedouble et fait tel si la nature lui indiquait la direction de recherche de la cause a partir de l’effet, d’apri?s des correlations constantes stipulees par le principe inductif du lei§ons ordinaire de la nature.

Des lors Cela reste clair que la nature du signe reste de devenir institue (installe) et constitue dans cette institution. Certes l’esprit humain reste motive via de bonnes raisons (raisons pragmatiques, urgence des besoins), dans le intention de signifier, d’effectuer (fabriquer) des indices. Certes l’intelligence humaine possede une faculte mimetique et imageante. Elle determine des representations a la ressemblance des objets des sens. Mais nullement plus qu’il n’est un indice, le signe n’est une image, qui se definirait comme decalque avec ressemblance une realite. On va pouvoir tomber sur chez Descartes, dans sa Dioptrique deux exemples qui illustrent l’idee que le signe n’est gui?re une image. D’une part le decalque du contour tout d’un objet avec le baton d’un aveugle qui en restitue aussi une image mentale. D’autre part, Afin de nos non-aveugles, la situation des tailles-douces qui seront les images — mais ni nos signes, ni les indices, ni des symboles — des forets et des villages qu’elles de-peignent en les peignant.

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